InnuScience

InnuScience exhorte les secteurs du nettoyage et de la FM à adopter des niveaux d’hygiène élevés en mettant l’accent sur un nettoyage efficace à l’aide de détergents hautes performances plutôt que sur une dépendance excessive à des désinfectants qui ne nettoient pas et qui risquent d’avoir un impact négatif sur l’environnement.

L’article complet est disponible ici

Les lauréats des Prix du CRSNG 2018. Ali Kademi, Ph.D., InnuScience – à droite complètement dans la rangée du haut. Le très honorable Justin Trudeau, Premier ministre du Canada – debout au centre. Louis Tessier, Ph.D., Collège de Shawinigan – à droite complètement dans la rangée du bas. Photo : Adam Scotti (Cabinet du Premier ministre)

 

Le 1er mai dernier, des scientifiques et des ingénieurs parmi les plus talentueux du Canada ont été reçus et honorés par des dignitaires du gouvernement du Canada afin de souligner leur excellence. Dans le cadre du programme de reconnaissance du CRSNG le prix Synergie pour l’innovation 2018 a été décerné à InnuScience Canada et le Collège de Shawinigan pour un projet de recherche qu’ils ont mené via un partenariat de recherche et de développement et qui contribuera à apporter d’importants avancements technologiques dans le domaine des bio-nettoyants.

Ali Kademi, PhD, d’InnuScience et Louis Tessier, Professeur du Collège de Shawinigan, ont reçu avec fierté cette mention et reconnaissance d’excellence. Le prix Synergie pour l’innovation souligne des exemples de collaboration qui constituent un modèle de partenariat efficace entre l’industrie et le milieu académique.

La cérémonie de remise des prix était présidée par Son Excellence la très honorable Julie Payette, Gouverneure générale et Commandante en chef du Canada. Pour l’occasion, les récipiendaires ont également eu le privilège d’échanger avec le très honorable Justin Trudeau, premier ministre du Canada.

 

Les lauréats des Prix du CRSNG 2018 ont eu le privilège d’échanger avec le très honorable Justin Trudeau, Premier ministre du Canada. Ali Kademi, Ph.D., InnuScience – premier à gauche, parle avec M. Trudeau – deuxième de la droite. Photo : Adam Scotti (Cabinet du Premier ministre)

 

La très honorable Julie Payette, Gouverneure générale et Commandante en chef du Canada, avec Ali Kademi, Ph.D., InnuScience. Photos : Cplc Vincent Carbonneau, Rideau Hall

 

La très honorable Julie Payette, Gouverneure générale et Commandante en chef du Canada, avec Louis Tessier, Ph.D., Collège de Shawinigan. Photos : Cplc Vincent Carbonneau, Rideau Hall

 

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https://www.actualites.uqam.ca/2017/eric-rassart-batisseur-sciences?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=envoyer_cbp

Hommage à Éric Rassart

Le professeur émérite du Département des sciences biologiques reçoit le titre de Bâtisseur en sciences.

26 OCTOBRE 2017 À 10H32

Catherine Mounier, vice-rectice à la Recherche et à la création, le professeur émérite Éric Rassart, Normand Séguin, doyen par intérim de la Faculté des sciences, et Isabelle Marcotte, vice doyenne à la recherche de la Faculté des sciences.
Photo: Denis Bernier

La Faculté des sciences a décerné, le 25 octobre, le titre de «Bâtisseur – volet recherche» à Éric Rassart,  professeur émérite du Département des sciences biologiques. La faculté avait déjà reconnu son travail en lui attribuant le «prix de la Recherche – volet carrière» en 2012.

Détenteur d’un doctorat en biochimie de l’Université McGill, Éric Rassart a enseigné à l’UQAM de 1986 à 2014. Ses recherches ont porté sur deux thématiques majeures: les rétrovirus de souris et l’apolipoprotine D (ApoD). En étudiant les rétrovirus qui induisent la leucémie, il a identifié de nouveaux oncogènes impliqués dans la transformation cellulaire. Éric Rassart a aussi démontré que l’ApoD  pouvait avoir un effet protecteur contre les maladies dégénératives, comme l’Alzheimer, et contre la méningocéphalite, révélant le lien entre la présence de cette protéine, l’inflammation et le stress oxydatif.

Signataire et cosignataire de 142 articles scientifiques, dont certains ont été publiés dans des revues prestigieuses telles que Blood, Cancer Research, Journal of Virology et Journal of Biological Chemistry, le professeur a présenté plus de 240 communications lors de congrès nationaux et internationaux. «Il est évident que le nom d’Éric Rassart restera celui d’un précurseur de la biologie moléculaire des rétrovirus, un champ d’investigation majeur depuis 40 ans», a écrit le chercheur français Marc Sitbon, du Conseil national de la recherche scientifique (CNRS).

Le professeur a cofondé, en 2003, le Centre de recherches biomédicales BioMed et en a assumé la direction lors de sa mise en place. Aujourd’hui, BioMed regroupe 39 chercheurs provenant de divers départements de l’UQAM, de l’Université du Québec à Trois-Rivières et de l’Institut national de la recherche scientifique/Institut Armand Frappier (INRS-IAF).

En plus de former de nombreux étudiants à la maîtrise et au doctorat, ainsi que plusieurs stagiaires postdoctoraux, Éric Rassart a développé des cours en biologie moléculaire, comme celui sur les manipulations génétiques, cours phare du programme de maîtrise en biologie. Il a aussi contribué au développement des programmes de baccalauréat  en apprentissage par problèmes et en biochimie.

«Bien que retraité de l’enseignement, Éric Rassart poursuit ses activités de recherche et continue d’encadrer des étudiants, tout en participant aux activités de BioMed», souligne son collègue Jean-François Giroux, directeur du Département des sciences biologiques.

Pour souligner le rôle de bâtisseur du professeur, une plaque commémorative, sur laquelle on trouve son nom et une brève description de ses contributions, a été apposée sur l’un des murs extérieurs du Cœur des sciences.

Article provenant de l’ActualitéUQAM

Le projet d’intégration des solutions écologiques de nettoyage, mis sur pied en 2014 et coordonné par la Chaîne d’approvisionnement, a modifié les façons de faire en profondeur dans l’entreprise. Sans l’implication et l’engagement de gens qui ont cru aux possibilités de la biotechnologie, ce projet d’amélioration n’aurait pu être réalisé.

Rappelons que les produits d’InnuScience, une entreprise québécoise de Sainte-Julie, sont certifiés Ecologo et répondent à des exigences strictes en matière de qualité et de performance environnementale. Ces produits s’inscrivent parfaitement dans une démarche de développement durable. Le principe de base est simple : les « bonnes » bactéries contenues dans les produits « biodégradent » les matières organiques contenues dans la saleté et leur action se prolonge au-delà du nettoyage.

Contrairement à la majorité des produits chimiques, les solutions écologiques ne sont pas nocives pour la santé et ont moins d’impact sur l’environnement : elles sont entièrement biodégradables en moins de 14 jours, sans composés organiques volatils (COV), hypoallergiques, multi usages, concentrées et s’utilisent à l’eau froide.

Témoignages positifs d’employés

Ces produits sans odeur, qui doivent être appliqués selon un dosage précis et qui requièrent dans certains cas un temps de pose pour agir efficacement, ont d’abord été accueillis avec un certain scepticisme chez nos employés. Quand on utilise depuis toujours des produits corrosifs qui nettoient rapidement, changer les habitudes peut être ardu!

Toutefois, dès l’introduction des produits écologiques, certains employés ont noté des changements positifs. Les préposées à l’entretien au CT Stinson Anne Marie Lemay et Julie Richard, ainsi que l’aide-vapeur à Villeray Phalavuth Sok, confirment que leur santé s’est améliorée. Depuis l’introduction des nouveaux savons, les problèmes respiratoires, la toux chronique, les maux de tête, les étourdissements ainsi que les picotements sur la peau et les yeux ont été éliminés. Selon eux, les savons sont efficaces mais il faut bien lire

le mode d’emploi et lorsqu’il y a un problème, le fournisseur est à l’écoute des demandes. Manon Laflamme, préposée à l’entretien à la station Lionel-Groulx, se dit également satisfaite de la performance des produits écologiques. Elle note surtout la disparition des produits en aérosol, nocifs pour l’environnement. L’équipe de de la Chaîne d’approvisionnement a offert son soutien tout au long du projet et facilité les liens entre les demandes des opérations et le fournisseur. Même si certains produits non écologiques sont toujours utilisés pour nettoyer des pièces très sales ou diélectriques, la technologie évolue sans cesse et le remplacement des produits non-écologiques se poursuit de façon progressive.

Une nette amélioration

La STM peut se féliciter de ces résultats, chiffres à l’appui :

  • Diminution de 17 500 contenants de produits en aérosol par an
  • Économies récurrentes de 33 %
  • Diminution de 37 % des matériaux d’emballage et de 62 % du CO2 émis lors du transport des produits
  • Élimination de 16 tonnes de polluants atmosphériques, de 136 tonnes de produits nuisibles pour le milieu aquatique et de 14 tonnes de COV

Pour assurer la pérennité de ce virage vert, la bonne volonté de tous les utilisateurs est nécessaire! À cette fin, la Chaîne d’approvisionnement continuera de travailler en étroite collaboration avec les directions  l’entretien concernées.

http://encommun.stm.info/la-stm-lave-plus-vert/?volume=vol27-no2

Corinne fait partie de l’équipe InnuScience depuis maintenant 20 ans.

Biochimiste de formation, elle supervise les activités de recherche et développement, et les activités liées aux affaires scientifiques. Mère de deux enfants, elle mène avec brillance une carrière remplie de stress, de surprises et de défis.

Elle est grandement appréciée de tous; collègues, partenaires, clients et fournisseurs.

Depuis 20 ans, Corinne contribue au succès et à la reconnaissance d’InnuScience.

Un gros merci Corinne!